dimanche 8 septembre 2013

Journal d'Hirondelle

Journal d'Hirondelle
de Amélie Nothomb




* Quatrième de couverture :  

C'est une histoire d'amour dont les épisodes ont été mélangés par un fou. A.N.


* Mon avis : 

Avis très sceptique sur ce livre même si j'ai bien aimé l'histoire qui est assez triste !

Le personnage est très spécial, il ne sait pas quoi faire de sa vie, et en même temps il est très sensible à ce qu'il fait.

Histoire de tueur à gage un peu perturbante mais qui permet de réfléchir sur notre vie, car pour lui tuer est un plaisir, et cela lui permet d'assouvir ses penchants sexuels !

Je ne connaissais pas Amélie Nothomb mais ce livre m'a permis d'en savoir plus sur son style que j'ai plutôt bien aimé. Elle a un style très particulier, et je ne saurais comment le décrire, on a vraiment l'impression d'être dans la tête du personnage, de vivre ce qu'il vit, faire ce qu'il fait, ressentir ce qu'il ressent ! Il nous transporte dans sa vie et on lit le livre à une vitesse.

Histoire très triste et en même temps une belle leçon de vie !

* Conclusion : 

Je pense que je vais lire d'autres livres de cette auteur ^^

1 commentaire:

Aline a dit…

Je te conseille sans hésiter Acide Sulfurique du même auteur, il est juste extra,
en voici un résumé:
"Concentration' : la dernière-née des émissions télévisées. On enlève des gens, on recrute des kapos, on filme ! Tout de suite, le plus haut score de téléspectateurs, l'audimat absolu qui se nourrit autant de la cruauté filmée que de l'horreur dénoncée. Etudiante à la beauté stupéfiante, Pannonique est devenue CKZ 114 dans le camp de concentration télévisé. Le premier sévice étant la perte de son nom, partant de son identité. Zdena, chômeuse devenue la kapo Zdena, découvre en Pannonique son double inversé et se met à l'aimer éperdument. Le bien et le mal en couple fatal, la victime et le bourreau, la belle et la bête aussi. Quand les organisateurs du jeu décident de faire voter le public pour désigner les prisonniers à abattre, personne ne s'abstient de voter et Pannonique joue sa vie."